C'est seulement une fois le dernier parpaing posé que Francky Caron s'est rendu compte qu'il avait bloqué toutes les issues possibles pour entrer...et sortir de son domicile.
Le sentiment d'insécurité provoqué par le nouvel afflux de migrants dans le calaisis a en effet poussé Francky à bâtir un mur anti migrants. À l'instar des habitants de Séméac, près de Tarbes, ce riverain du quartier du Petit Courgain a voulu prendre les devants et se protéger de toute nouvelle invasion.
En attendant la destruction du mur, ce sont des associations opérant auprès des réfugiés qui apportent à Francky ses repas quotidiens.
© Calais Faits Divers - 2017
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